Nous ne sommes que de passage sur terre. Soignons ce bref moment dans l'infini du temps pour être heureux.
A quoi sert de nous chamailler, de manquer de respect, de créer des guerres ?
Quel bilan tirer à la fin de sa vie sur son bonheur vécu ?
Le bonheur dépend directement de la façon qu'on nourrit son cerveau.
Se gave-t-on de films de guerre, de suspens, de crimes, d'horreur ?
La peur ou l'angoisse tenaille-t-elle sur son travail, sa santé, sa vie de famille, ses finances ?
Il faut savoir dire STOP si le chemin suivi est jalonné de stress.
Ne pas craindre de rechercher de nouvelles voies.
Partir à l'aventure de renouveau, construire du neuf.
SOURIRE à la vie, même si la situation est difficile, car se faire du mauvais sang ne peut qu'apporter une mauvaise santé.
Alors oui, la bienveillance, la gentillesse, l'empathie, le rire, si cela devient un réflexe naturel alors le monde peut changer.
Dès le lever esquisser un sourire, devant le miroir s'admirer tel que l'on est, dire bonjour en souriant à vos proches.
Croiser ses voisins avec bienveillance et sourire.
Soyons patients, contrôlons nos énervements, pardonnons-nous au mieux les uns les autres nos fautes, ne crions pas, cherchons à comprendre et trouver des solutions apaisantes.
Ne rabaissons pas nos enfants ou nos proches par des mots dévalorisants et encore moins de le faire en présence d'autres personnes.
Personne n'est parfait mais toutes et tous pouvons oeuvrer à faciliter nos rapports humains sans passer par des eugueulades qui n'apportent rien de positif.
Ne pas désirer s'approprier ce que son proche possède, éviter la jalousie particulièrement quand elle est excessive, ne pas faire une scène de ne pas être mis dans une confidence.
Ne pas attendre un merci pour un cadeau, un service rendu ou une générosité mais remercie qu'on accepte ce don que tu fais.
Aimer c'est donner sans rien attendre en retour, pas même un merci, sinon c'est du commerce, du marchandage. Donner dans la discrétion est mieux.
